Baise-moi en V.O

Ta queue vibrante venait de me pénétrer en levrette, nous faisions l’amour déjà depuis de longues heures et ma chatte dégoulinait et enduisait ton membre à chaque passage. J’étais dans un plaisir fou, excitée par nos ébats et notre complicité, je sentais tes couilles battre mes fesses et j’entendais le haut de tes cuisses frapper mon cul. Tu venais de m’envoyer deux claques simultanées sur les hanches et je criais de plaisir à ressentir cette douceur de ton sexe en moi à la saveur pinçante sur mes hanches de tes fessées.

Je te dis : « Baise-moi en parlant cette langue que je ne comprends pas, baise-moi et parle-moi cette langue »

C’est alors qu’en réponse à ma supplication, j’entendis cette voix gutturale, virile, sortant du fond de ta gorge… une voix inconnue de moi jusqu’alors …A ce premier mot mon être se mit à trembler et un spasme m’envahit d’un coup serrant mon vagin magiquement.

« Encore, parle encore ! » te dis-je

Un autre mot, ta voix résonnant dans les « basses », je vibrais une seconde fois et me mis à crier frénétiquement « ENCORE ENCORE »

Au troisième mot, une fois de plus mon vagin se contracta autour de ta bite, la serrant au plus près et d’un coup sec….Conscient de l’effet de tes mots, de ta voix sexuelle, tu te mis à déverser un flot de mots inconnus et accélérer tes mouvements de hanches, frappant mes fesses de tes mains, vociférant et moi criant de plus belle : « Encore ! tu as la voix d’un démon »

Chacun de tes mots décuplant mon plaisir, chacun de tes mots serrant ma chatte, décuplant ton plaisir, aspirés tous deux dans cette émulation pornographique.

Tu parlais ta langue mystérieuse derrière mon cul, j’ étais persuadée que tu disais des mots très impudiques et je me m’excitais à ne pas les entendre. Tu venais maintenant de me chevaucher tel un animal, assis sur ma croupe, envoyant une nouvelle fois grâce à cette position des « électricités » profondes dans mes entrailles… le poids de ton corps s’appuyant dans mon dos, la vision de tes genoux vers ma taille, j’étais dans un étourdissement érotique.

« touche ma chatte, touche…je dégouline

-Putain Red..tu dégoulines Ouiiiii !!! » me tapotant le pubis de ta main…je me souviens que je n’avais qu’une envie à cet instant c’était plonger ma main dans ma chatte et porter cette mouille à tes lèvres, enfoncer mes doigts dans ta belle bouche et regarder tes yeux.

Tu me pénétrais maintenant profondément et tes mots reprirent, je soufflais comme une bête à t’entendre, accrochée aux draps et vocalisant par des mots mes sensations intenses, je jurais et t’encourageais à me parler encore, me masturbais de tes syllabes, écoutant les vibrations de ta gorge qui résonnait dans mon vagin en tremblements…pour la première fois de ma vie j’ai dit ; ‘je suis ta chienne et tu me baises comme un chien » L’excitation était donc à son comble pour je devienne si crue, si étonnamment vulgaire.

Je sentais ton sexe comme jamais, je sentais les moindres détails de ton anatomie, il bandait de plus belle, chaque mot prononcé lui donnant de la vigueur et serrant les chairs..ta bite si tendue que ma chatte en percevait les moindre flux, les veinures et renflements …ton nœud frottant les parois de mon vagin comme des caresses, il naviguait en moi et je l’arrosais de ma mouille….tu étais un serpent qui me sondait tandis que ta voix chamanique me faisait perdre tout contrôle.

Mon cerveau se déconnecta net tout comme une lumière que l’on éteint puis qu’on rallume, mon esprit quitta mon corps..tes mots se faisaient lointains, entremêlés de tes rugissements, je recevais sans comprendre tes vibrantes intonations qui se synchronisaient à tes coups de reins. Je disais que je sentais presque tes couilles entrer en moi, gonflées, tendues et ton sexe qui ne finissait pas de durcir en moi.

Nous implosâmes ensemble dans un éclat magique et puissant, un mot long et appuyé terminant ta jouissance et me sortit de mon voyage.

Baise moi en VO mille fois encore, cette voix sortie de je ne sais quel lieu parle dans mon vagin et le serre comme jamais…baise-moi en VO mille fois encore.