LUI :
Nous décidèrent de nous retrouver à l’écart de la ville, loin de sa torpeur estivale, dans cette clairière bordée par une petite rivière. Un cours d’eau longé de saules aux feuillages opaques, aptes à nous protéger des attaques du Dieu Râ. Nous nous installèrent confortablement sur la rive, sur ce carré d’herbe dense, balayé par un petit air à la fraîcheur salvatrice.
ELLE:
Ma poitrine se soulevait généreusement à chacun de tes regards...