Je glisse la clef dans la serrure de la porte, 2 tours, je peux partir….
Vêtue d’un robe légère facile à enlever comme à mettre, je ne porte que cela et un collier de perles chaussures à la main…parce que j’aime conduire pieds nus …mon appareil photo bien entendu et mon tube de rouge à lèvre.
Je n’ai que quelques km à parcourir, je sais exactement où je vais et je ne dispose que de deux heures, pas plus. Je me hâte dans la forêt de sapins, je dois aller jusqu’à l’endroit où la mousse est verte et abondante.
Je m’arrête, regarde aux alentours, personne et pas un bruit si ce n’est celui de la foret.
Je mets mon appareil sur « on » et je commence à m’enrouler autour d’un arbre, comme un sexe de géant que je serre de mes cuisses, ma chatte nue reposant sur son écorce douce et parfumée. Je me laisse porter par les clichés, l’air et la sensualité de ce lieu, oubliant tout si ce n’est ce geste …ce doigt qui appuie sur le déclencheur. Je m’allonge, me tortille dans la mousse, fait corps avec elle en publiant les petites bêtes qui doivent y vivre et que j’écrase de ma croupe nue, oubliant ce sein qui déborde de ma robe et oubliant aussi les caresses que je me donne en changeant de pose.
Un craquement de branche me fige…..me sort de ce monde qui m’avait aspiré….je regarde et écoute encore….non il n’y a personne, une biche sans doute ou un petit animal qui n’a pas su détecter a présence….
Je me relève, hume et sonde l’air tel un animal….personne….Je fais quelques pas… et m’accroupissant je soulève l’étoffe de ma robe, écarte mes cuisses, un filet d’urine glisse lentement jusqu’au sol, sans bruit, long et silencieux il brille dans la lumière qui filtre entre les arbres, j’en ferme les yeux… j’adore cette sensation …lorsque qu’il est filet doux et qu’il n’est pas jet puissant. Je n’ai rien pour m’essuyer, je secoue ma croupe afin que les gouttes restantes tombent dans la mousse « ahhhhhh » dis-je……c’est à ce moment que j’aperçois une ombre immobile, cachée derrière un arbre proche…..Il est grand, fin, brun…je crois qu’il ose à peine respirer….je n’ai aucune peur et aucune crainte, je me penche légèrement et le regarde, je lui souris et fronce mes sourcils tout en me relevant…ma robe glisse sur mes hanche, retombe et recouvre mon intimité qui dégouline encore de perles d’urine, je rentre mon sein à la hâte…
« As-tu aimé ce que tu as vu ? Ai-je à craindre de toi ?
…….LA SUITE DANS LA RUBRIQUE DES TEXTES EROTIQUES....