J’avais tes lèvres entre mes lèvres, mon nez collé au tien humant les fragrances de nos ébats récents, ton nez sentait ma chatte et se mêlait à ta propre odeur…je m’enivrais de toi…je respirais à grands naseaux….te fixant de mes yeux, ton regard ardent, fort et si noir me mettait l’âme à nue.
Ce désir retenu depuis si longtemps, ce désir qui frappait entre mes cuisses et montait jusqu’à mes tempes se propageait entre nos corps nus…et tu y répondais en écho, je...