Like a Boss hors ligne 47 ans,
homme
inscrit le : 13/11/2013
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le 13 Nov. 2013 15h39J'écris moi aussi quelques nouvelles. En voici une qui sied bien à la couleur du forum
Cela faisait déjà quelques temps que nous échangions sur le net, elle et moi. Nous nous étions découvert des envies et des désirs communs et avions décidé d'enfin nous rencontrer selon un protocole très codifié.
Elle devait arriver ce jour là dans ma rue, à la tombé du jour. Pour la repérer rien de plus facile, il fallait se fier à ses semelles rouges et lui adressé la phrase suivante, "je vous trouverais très belle juste vêtue de vos louboutin", ce à quoi elle devait répondre "mais avec quoi boirons nous du champagne?". J'avais un peu peur de croiser plusieurs jeunes filles en semelle rouge mais heureusement tu fut ponctuelle et je t'ai emmené dans mon appartement, à mon image, cosy et discret.
Je t'invite à entrer au salon, deux verres de cognac trônent sur la table, je te propose un verre que tu acceptes. "J'ai un peu froid" me dis tu. Pas de soucis, je prends une boite d’allumette et m'empresse d'allumer la cheminée. Tu éteins la lumière pour ne laisser que celle des flammes et sors de ton sac une bougie accompagné de son bougeoir.
"Donne moi les allumettes" m'ordonne tu. Une fois ceci fait tu enflammes la mèche et me dévoile ton plan : "tant que la bougie sera allumé, je serais à toi, tu pourras user de moi comme bon te semble, profites en la vie est courte".
Je m'assoie dans un fauteuil en cuir. je croise les jambes et t'observe puis t'ordonne "Déshabille toi et ne garde que l'essentiel". Tu me regarde droit dans les yeux et fait tomber ton manteau à tes pieds. "Je l'avais anticipé". Tu es nue en dessous, pas tout à fait. Les ombres des flammes dansent sur ton corps, je ne peux m’empêcher d'admirer tes seins, je devine plus que je ne le vois ton entrejambe et les bas qui habillent encore tes jambes accompagnés d'un élégant porte jarretelle.
A mi voix je te réclame de t'approcher, d'amener ton corps près de ma bouche. J'hûme les douces effluves qui en émane et j'approche ma bouche de ton con, je le baise doucement, le respire avant de le lécher avidement. Tu te tiens droite et stoïque mais je sens ton envie poindre au bout de ma langue. Mes mains te caresse les fesses, joue avec les jarretelles de soie...
La bouche humide de ton foutre je t'invite dans un murmure à t'asseoir sur mes genoux. Tu écarte les jambes et t'assied sur moi, ta bouche rencontre la mienne, tes cheveux se nichent dans mon cou, tes mains dégrafe ma ceinture, mon pantalon et sortent avec délicatesse mon sexe déjà tendu. Tu le branle pour la forme et me rapproche de toi pour l'insérer en toi. Je gémis quand je sens ton sexe avaler le mien... Tu vas et viens en moi, tes assauts m'attisent, m'excitent, je te sens bien.
Je regarde la bougie, elle s'est consumé trop vite ou bien le temps ne parait rien entre tes bras. Il ne reste plus beaucoup de temps. Je te demande te te retourner, je me mets au bout du fauteuil et t'attire sur moi, ma queue passe entre tes cuisses et te pénètre violemment, tu pousses un cri de surprises suivis d'halètement de plus en plus fort et rapide. Je sens ton plaisir augmenter au rythme de mes va et vient, le mien également, je n'en peux plus, je te prends tout contre moi et jouis fort en toi. En reprenant ton souffle tu éteint la bougie.
Tu te relèves et rajuste tes vêtements dans le noir, passe rapidement par la salle de bain, le feu de cheminée étant presque éteint. De mon coté je retire mon pantalon et vais chercher un peignoir pour être plus à l'aise. Nous bavardons un peu mais tu dois filer rapidement. En voulant m'embrasser ta main s'égare par erreur sous mon peignoir et constate que je bande à nouveau. Tu me caresse doucement et me dit "je vais te laisser un petit souvenir" avant de te mettre à genoux. tu prends mon sexe en bouche avidement. Je salue cette pipe impromptu pas un doux râle. tu maîtrises très rapidement le sujet et me suce si délicieusement que je jouis très rapidement. Tu avales mon jus et donne un dernier baiser à mon sexe avant de t'en aller. Je reste encore sous l'effet de mon orgasme quand tu es déjà loin déjà partie. Je me rends alors dans la salle de bain. En allumant la lumière je ne peux m’empêcher de sourire, en guise de souvenir tu auras laisser sur mon sexe la trace de ton rouge à lèvre couleur rouge cerise.