C’est assez vite que j’ai compris à quel point votre vit avait été taillé pour ma bouche…..permettant à ma gourmandise de s’exprimer sans contrainte, la complicité étonnante qui nous liait déjà facilitait également mon imaginaire débridé.
Cette bosse lorsque vous vous êtes levé….cette bosse provoquante de votre pantalon…
Votre profil innocent devenant profondément érotique, je fixais votre mat qui pointait comme un doigt me désignant : ‘c’est vous ‘ semblait-il dire… ‘C’est vous qui me faite bander de la sorte !’
La conversation innocente qui donnait à cette scène un éclairage singulier. Votre main me tendant un verre et moi qui n’arrivait pas à vous regarder dans les yeux sans avoir en tête cette protubérance troublante. Je souriais certainement à prendre ce verre et frôler votre main, gouter l’enivrement qui n’était point dans ce contenant puisque je me refuse maintenant à me désordonner les sens avec autre chose que les batailles de l’esprit et les joutes de corps. Disons, oui que mon esprit était clair et concentré autant qu’il était possible de l’être avec la connaissance de votre particularité anatomique si près de mon entre cuisse.
Votre appartement était envahi des odeurs musquées et poivrées d’encens, une volute blanchâtre qui m’avait rassurée à mon arrivée chez vous. C’était une attention simple de donner une odeur au lieu avant que je le pénètre.
Votre « antre » comme vous l’appeliez me plaisait et naturellement je vins m’assoir sur ce canapé gris qui se mit à épouser mes formes comme une main. J’appréciais la découverte de votre gestuelle, je regardais au travers de votre chemise entre ouverte, cherchant la toison que j’avais devinée sur le seul cliché que je possédais de vous....
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Un texte érotique qui sera publié dans quelques semaines........