Tords moi l’imaginaire chéri, je ne tiens plus, le désir palpite encore au creux de mes reins ... je me retrouve seule à nouveau dans l’attente de tes étreintes pénétrantes, et dans le souvenir de la puissance de ton intelligence sexuelle; j'ai besoin de tes bras et de tes fragrances, de tes coups de hanches et de tes râles dans mon dos, de tes souffles...je me tortille, animée de ce désir permanent que je désamorce comme une petite bombe.....Viens ! Viens ! J'ai besoin de te sentir en moi.....virile et doux